L’installation est une représentation du bâtiment contemporaine et ses habitants, d’abord une admiration pour l’évolution de l’architecture, pour avoir réussir, dans nous jours, constructions en métal et cristal comme essence de son esthétique, leur voir presque disparaître dans l’espace à causse de l’effet des reflets et de sa fictif transparence, donc le plastique et le métal, utilises dans la structure de l’installation, sont une représentation du métal et cristal de dites bâtiments ; j’ai ajouté une foil en papier blanc dans chaque file de foils en plastique, pour retenir la projection de la vidéo et pour cassé la transparence du plastique, les files de foils en plastique sont disposées de façon qu’elles ressemblent aux fenêtres des bâtiments.
En deuxième lieu l’ouvre est une critique au fonction, utilité et habitants internes des bâtiments, c'est-à-dire ces constructions sont liés à une institution de pouvoir comme grands noix économiques ou institutions de l’état, dans le deux cas il y a un moteur d’exploitation du peuple, et ils nourris un vorace système capitaliste, dans la plu part de cas ils ne sont accessibles à une grand partie du peuple, et ils ont une hiérarchie interne, dans les étages supérieurs l’humaine lié au pouvoir et dans les étages inférieurs les gens plus prés du peuple.
Le titre « Fausse transparence » est à causse une hypocrite symbolisme de l’utilisation du cristal dans les bâtiments des institutions publiques, selon eux, ces bâtiments sont transparents comme le mécanisme de l’état, le peuple a le droit de voir qui passe à l’intérieur car le cristal est transparent, mais ce ne marche pas comme ça, car par effet de la lumière du jour, est impossible de regarder de l’extérieur, par contre les habitants internes peuvent voir tout qui passe à l’extérieur, comme ça les bâtiment public devient un grand panoptique dans le qu’il puissante habitante surveille les mouvements du peuple ; les habitants internes sont représentés par mouches, comme si dedans les édifications il y a quel que chose qui pue. A causse de la lumière qui traverse les espaces entre les files des foils en plastiques, j’obtiens dans deux murs derrière la structure, un bâtiment en perspective, de 3m de auteur, puisent comme symbole du pouvoir idéologique, politique et psychologique de ses bâtiments.
La vidéo se compose des différents images chaque une avec sone respective texte et son, que représentent différents aspects du bâtiment :
Que bonitos los castillos de cristal… : est une scène des mouches qui volent et qui sortent des sorts des rectangles comme d’un panoptique.
Brillante luz fluida con aroma excremento como te amo : dans cet image il y a une mouche qui se noie et se dissolve dans une fluide blanc, ou dans une lumière que l’extermine.
Hermosa e hipocrita transparencia perfume que apesta y embriaga : ici j’ai mis une vidéo du vapeur d’une fenêtre, pour remarquer le caractère esthétique et de transparence des bâtiments, avec une image sensible presque poétique et tan minime comme le vapeur d’une fenêtre.
Que feliz estoy, mi gran sonrisa es gracias a una brillante gillette : dans cet séquence on a une image aussi esthétique d’une texture métallique, que avec le texte ironique j’essaye de représenter l’agressivité et fausse joie, mais au même temps est une frase de libre interprétations.
Que bonitos los castillos de cristal pero no son nada fràgiles : la dernier partie est composé des images pris des bâtiments du quartier européen à Bruxelles, à partir un montage, j’ai des image presque texturales pour remarquer encore l’esthétique de la structure et aussi du bâtiment contemporaine.
mercredi 13 juin 2007
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